[Donaldson, Stephen R.] L'appel de Mordant - Tome 2: Un cavalier passe

[Thot]

Critique faite par Mélusine:

L’appel de Mordant 2
Tome 2 : Un cavalier passe
Auteur : Stephen R. Donaldson
Edition : Folio
Nombres de Pages : 683

Quatrième de couverture :

Thérisa Morgan a franchi d’un seul pas le miroir qui la séparait de Mordant, un monde médiéval où règne la magie. Mais là bas, la guerre gronde et menace le royaume d’Orison, déjà affaibli par des conflits internes. Le Congrégat des Imageurs, dernier rempart contre la barbarie, s’est dissous, l’une des filles du monarque a fui le château tandis que l’autre conspire contre son père, le Roi Joyse qui semble avoir définitivement perdu la raison. Plongée contre son gré dans ce chaos, térisa devra survivre à de multiples tentatives d’assassinat avant d’espérer déjouer les complots qui pèsent sur le trône. Alors seulement pourra s’accomplir la destinée qui fera d’elle l’égale des plus puissants magiciens de Mordant.

Mon avis :

Je suis beaucoup plus emballée par ce second tome que le premier.
En effet, il y a plus d’actions et il le rythme et les personnages sont moins « mous », un peu plus soutenus, l’intrigue se démêle. Cette dernière est de plus en plus intéressante et les rebondissements plus nombreux.
L’invocation du Champion a échoué, et le royaume se prépare à la guerre. L’un après l’autre, les derniers alliés du roi Joyce se détachent de lui, jusqu’à ses propres filles. Orison sera bientôt assiégé. Et Maître Eremis semble de plus en plus à même de prendre le contrôle du Congrégat des Imageurs.
Térisa échappent à plusieurs tentatives d’assassinats et elle tente avec géraden de percer le secret de l’Imagerie.
Les deux principaux personnages donc Térisa et géraden découvrent petits à petits leurs pouvoirs ce qui leur confère un vrai statut de héros au fils des pages, eux qui au départ de leur vie étaient très peu et très mal considérés et pratiquement insignifiants dans leur vie respective. Ils s’allient et deviennent plus forts.
Ils apprennent à se connaître mutuellement, à travers l’autre mais aussi individuellement, et je confirme ce que je disais lors de ma première critique (tome 1) : Les personnages héros sont très attachants. Les autres non moins importants, nous valent soit dégout, sois colère et c’est ce qui fait un bon roman. On s’y confond et on partage les émotions et les sentiments des personnages.

[Invité]

Je recopie simplement mon post fait dans le sujet du tome 1:

J'ai moi aussi préféré ce second tome au premier, même si les principaux défaux du 1 s'y retrouvent toujours: des personnages stéréotypés, une histoire aisément prédictible, et une action juste un peu plus présent.