[Bohn-Derrien, Laetitia] Je parle

[Invité]

« Je parle »

Auteur : Laetitia Bohn-Derrien
Edition : Livre de poche
Nombre de Pages : 288

Quatrième de couverture :

« Je suis ce que l’on appelle vulgairement un légume. A trois détails près, non négligeables : j’ai toute ma tête, je sens les mains qui me touchent, et j’ai découvert que mes paupières n’étaient pas seulement deux peaux qui protègent les globes oculaires et qui accueillent des fards multicolores ».

Laetitia, jeune mère de 33 ans, brillante responsable des relations publiques, enchaîne les heures supplémentaires. Alors qu’elle participe à un congrès mondial de cardiologie, une migraine foudroyante l’oblige à s’allonger. Victime d’un locked-in syndrom, elle ne se relèvera pas. Aux urgences, on lui donne deux jours à vivre. Mais sa volonté et l’amour de sa famille vont accomplir un miracle.
Ce combat au jour le jour contre la paralysie est une véritable leçon de vie, pleine d’humour et d’humanité, un formidable témoignage d’espoir.

Mes impressions :

C’est un livre fort et profondément humain derrière le côté « inhumain » de la situation…
Une femme se bat pour retrouver sa dignité mais elle n’y serait pas parvenue sans l’amour de ses proches.
Ce livre est à la fois douloureux et difficile mais il est aussi réconfortant parce qu’il est un message d’espoir et une belle leçon de vie et de courage, mais aussi de détermination !
Il appuie aussi sur le fait que le bonheur n’est pas cette grosse masse qui peut nous tomber sur la tête un jour d’un seul coup, mais il est la somme de petites choses quotidiennes qu’il faut savoir savourer tant que nous les possédons !!!
La morale de cette histoire pourrait être qu’il faut profiter de chaque moment qui passe, de chaque seconde et de remercier la vie pour notre capacité à réaliser des gestes simples , comme par exemple le seul fait de respirer car demain est un autre jour et l’on ne sait pas de quoi il sera fait, du pire comme du meilleur. Ce livre nous fait prendre conscience que la vie est plus que fragile.

[audreyzaz]

Je note ce livre