[Babendererde, Antje] Lune indienne

[yaki]

Lune indienne / Antje Babendererde, Ed. Bayard Jeunesse, 2007

Présentation de l'éditeur :
Oliver n'oubliera jamais ce jour où sa mère lui a annoncé son mariage avec un Indien Iakota. Arraché à son pays et à ses amis, il se retrouve à quinze ans, exilé dans une réserve, en plein coeur de l'Ouest américain.
Pour le meilleur et pour le pire, il apprendra pourtant à connaître ce peuple fier et courageux qui se bat pour la sauvegarde de son identité.
Un roman fort et poignant qui bouscule nos préjugés.

Mon avis :
Oliver est un jeune garçon allemand qui vit sa petite vie tranquille d’ado entre sa mère et sa petite amie. Tout va donc pour le mieux jusqu’au jour où sa mère lui annonce son mariage prochain avec Rodney, un indien d’Amérique. Non seulement il va devoir quitter sa petite amie et son environnement familier pour aller vivre dans un pays inconnu mais il va également devoir s’habituer aux coutumes indiennes et dépasser ses préjugés.

Ce roman pour ados est dépaysant et touchant, le style de l’auteur est agréable. Il aborde de manière intelligente le racisme, que ce soit des blancs envers les indiens ou des indiens envers les blancs. On suit avec intérêt l’évolution d’Oliver et son changement de perception vis-à-vis des Indiens. Une jolie découverte !

[Invité]

Intéressant Yaki ! Je le note dans ma Làl.

merci

[lili78]

Parce que sa mère va épouser un Indien Iakota, Oliver, quinze ans, est contraint de quitter son quotidien en Allemagne, pour aller vivre au cœur d’une réserve indienne. Grand choc culturel, il sera alors confronter à la misère, aux ravages de l’alcool, et au racisme.
Mais il va aussi découvrir les bienfaits d’une grande famille où chacun se soucie des autres, la communion avec la terre, le respect pour la nature et la fierté de ce peuple magnifique.

Lune Indienne est un roman sympa, que j’ai bien apprécié, j’aime beaucoup les personnages, surtout Grand-père Joe.

Extraits : « La valeur d’une vie est mesurée à la couleur de la peau. »
« Nous sommes des Lakota. Le vent nous raconte ce qui se passe ; l’herbe nous murmure des secrets… » J’adore cette idée !

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